L’école s’effondre sur elle-même. Protégeons nos enfants ! Signez la pétition maintenant.
Madame, Monsieur,
Les élèves ne sont plus les seuls à avoir la boule au ventre en allant à l’école.
Aujourd’hui, beaucoup de parents sont anxieux d’y laisser leurs enfants.
Comme s’ils les menaient à l’abattoir.
Et pour cause !
D’un côté, de nombreux militants d’extrême-gauche et « wokes » arrivent à diffuser l’idéologie déconstructiviste jusque dans les manuels scolaires, dans les programmes.
Depuis des années, ils font pression. Ils influencent les professeurs qui resservent leur soupe LGBT. Ils réécrivent l’Histoire à la sauce gauchiste.
L’ancien ministre Blanquer a vite cédé en sortant la circulaire promouvant « la diversité des situations des transidentités ». Puis il y a eu Pap Ndiaye au ministère...
Dans certains établissements, les cours de récré sont déjà « dégenrées », tout comme les toilettes.
Des « semaines LGBT » ouvrent les écoles à des militants forcenés. Implicitement, les élèves sont poussés à se torturer le cerveau, à demander à changer de prénom, voire, dans des proportions de plus en plus alarmantes, à désirer « changer de sexe », allant jusqu'à des injections d'hormones…
D’un autre côté, l’islamisation des écoles est de plus en plus répandue.
Même la présidente du « Conseil des sages de la laïcité » avoue que, pendant les 15 dernières années, l’Éducation nationale a fermé les yeux sur cette terrible progression.
Dès la maternelle, on voit des petits garçons refuser de s’asseoir à côté des filles. Jusqu’en terminale, de plus en plus de jeunes croient dur comme fer que la terre est plate et que l’évolution est « haram », qu’elle contredit l’islam. Des propagandes anti-colonialistes et des slogans de « repentance » entretiennent la haine de la France.
Les professeurs s’autocensurent.
De peur de finir comme Samuel Paty, décapité à la sortie du collège pour avoir fait un cours sur la liberté d’expression.
Mal formés, obligés d’enseigner l’impossible « vivre-ensemble » en même temps que leur matière, non soutenus par la hiérarchie qui les étouffe, les professeurs sont devenus de la chair à canon.
De moins en moins de jeunes veulent devenir enseignant. La pénurie est tellement critique que les chefs d’établissement sont parfois obligés de mettre des petites annonces sur le Bon Coin ou sur Facebook !
L’Éducation nationale recrute à la pelle des contractuels non préparés, qui découvrent le programme sur le tas, en même temps que les élèves. Au CAPES de mathématiques, la barre d’admission était descendue à 8/20 en 2021.
Et même en cours d’année les professeurs absents ne sont souvent pas remplacés. Selon la Cour des comptes, à peine 21 % des heures d’absence « de courte durée » ont été remplacées en 2018, laissant donc pendant les 79 % heures d’absence restantes, les élèves sans professeur.
Le Bac est devenu une farce…
La France chute dans les classements internationaux…
Les grandes écoles ont du mal à recruter des profils d’élèves au niveau requis…
La violence et le harcèlement sont endémiques…
Si vous aussi vous ne voulez plus d’une Éducation nationale consacrée au Grand Endoctrinement, qui liquéfie le cerveau des enfants au lieu de les instruire, signez la pétition pour exiger d’Emmanuel Macron de :
- protéger l'École de toutes les influences idéologiques qui empêcheraient de s’instruire, d’apprendre la science, l’Histoire…
- rétablir une discipline dans les établissements pour éradiquer la violence et le harcèlement
- remettre la transmission des savoirs au centre et tout faire pour revenir à une instruction exigeante et performante, notamment en valorisant le statut des enseignants et en les formant correctement, sur tout le territoire national.
SIGNEZ LA PÉTITION !